Soutenir et accompagner la relève enseignante fait partie de la mission de l’AESTQ et nous y accordons une importance toute particulière !

Pour notre 55e congrès, nous avons eu la chance d’avoir accès à la vision de la prochaine génération à travers les yeux de 9 étudiants et étudiantes.

Ces jeunes ont participé au congrès et ont reçu chacun(e) une bourse afin de couvrir les frais liés à leur participation.


 

4 étudiants en enseignement ont été sélectionnés, notamment, pour leur intérêt pour la thématique du congrès et leur qualité rédactionnelle.

Ces étudiant(e)s avaient pour mandat de produire au moins un article, en lien avec le congrès et la thématique, à soumettre pour publication dans la revue Spectre.

Merci à Audrey Groleau, professeure titulaire au département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières et codirectice du Centre de recherche sur l’enseignement et l’apprentissage des sciences (CREAS) et à Jean-Philippe Ayotte-Beaudet, professeur au département d’éducation de l’Université de Sherbrooke, titulaire de la Chaire de recherche sur l’éducation en plein air et directeur du CREAS.

Antsa Nasandratra Nirina Avo
Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)

Antsa Nasandratra Nirina Avo est une étudiante internationale venant de Madagascar. Elle est enseignante-chercheure en mathématique à l’Institut Supérieur de Technologie d’Ambositra Madagascar.

Antsa étudie actuellement à l’UQTR dans le cadre d’une maitrise en science de l’éducation en vue d’enrichir ses connaissances en éducation et de se perfectionner comme chercheure.

Elle adore travailler en éducation et aime encore plus effectuer des recherches surtout en mathématiques. Elle voudrait s’améliorer en communication scientifique, surtout à l’écrit et sa participation au congrès lui offre une expérience riche et un accompagnement de qualité de rédaction scientifique.


Camille Binggeli
Université du Québec à Trois-Rivières

Formée en enseignement des sciences et de la technologie au secondaire, Camille a décidé de continuer ses études universitaires au deuxième cycle en éducation pour prendre part au milieu de la recherche. Les innovations qui découlent de la recherche la fascinent et c’est ce qui l’a poussée à vouloir mieux connaitre ce milieu. Ses intérêts en lien avec l’enseignement des sciences et de la technologie sont variés, mais son projet de maitrise porte plus particulièrement sur l’effet de la révision du programme de Sciences de la nature au collégial sur les pratiques enseignantes et sur la transition scolaire. L’intelligence artificielle est un domaine vaste face auquel Camille entretient plusieurs conceptions et représentations personnelles. Elle s’attend donc, par sa participation au congrès, à enrichir et à faire évoluer ces conceptions et ces représentations tant sur le plan personnel que sur le plan de l’enseignement.


Marie-Claude Beaudry
Université de Sherbrooke

Autrefois enseignante et aujourd'hui étudiante chercheuse en didactique des sciences, Marie-Claude Beaudry est constamment à la recherche de pratiques intéressantes, stimulantes et innovantes permettant aux élèves de s'intéresser aux phénomènes scientifiques qui les entourent. Marie-Claude est émerveillée par la curiosité des élèves de tout âge, entre autres lorsqu'ils posent des milliers de questions sur ce qu'ils observent. Elle aime partager avec eux des façons d'apprendre qui les connectent à ce qu'ils vivent! Ce sont là quelques raisons qui l'amènent à poursuivre des études sur l'éducation scientifique en plein air ainsi qu'à enseigner aux futures personnes enseignantes en didactique des sciences­.


Metzi Boily-Ortega
Université de Sherbrooke

Metzi Boily-Ortega est un étudiant à la maitrise de recherche en sciences de l’éducation à l’Université de Sherbrooke. Son intérêt pour la recherche est né lors de son baccalauréat en enseignement primaire et éducation préscolaire à l’Université de Montréal au travers de réflexions et de projets portant sur des pratiques innovantes. Il a mis sa carrière d’enseignant sur pause afin de rejoindre une équipe de recherche qui partage un but commun : le développement de l’éducation en plein air. Vous aurez compris qu’il est passionné de nature, mais aussi de musique et d’agriculture à échelle humaine. Sa participation au congrès de l’AESTQ vient toucher à son désir d’échanger avec des collègues et de mieux comprendre l’éducation, plus particulièrement l’éducation scientifique.

 

4 étudiantes en journalisme sélectionnées à la suite d’un appel auprès d’étudiants et étudiantes de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).

Merci à Patrick White, professeur à l’École des médias, UQAM, et Chloé-Anne Touma, rédactrice en chef, CScience.

Andréanne Gariépy
Université du Québec à Montréal (UQAM)

Née à Québec, Audréanne étudie en journalisme à l’UQAM. L’une de ses passions est le voyage, découvrir l’inconnu. Cette quête, elle essaye de la retrouver un peu partout dans sa vie quotidienne. Elle aime sortir de sa zone de confort et elle adore s’exprimer oralement.

Lors de l’évènement, elle souhaite être en mesure de créer de petites vidéos qui sauront accrocher le public. Elle souhaite en apprendre davantage sur les couvertures journalistiques qui s’effectuent en « live » et est très enthousiasme face à ces journées de congrès.


Flora Tauliaut
Université du Québec à Trois-Rivières (UQAM)

Depuis toute petite passionnée par l’audiovisuel et curieuse de faire quotidiennement de nouveaux apprentissages, cela a été une évidence pour Flora de se diriger vers le journalisme pour ses études supérieures. Séduite par la diversité de choix concernant le type de plateforme pour partager du savoir, c’est le désir de mettre en lumière et donner la parole à ceux qu’on ne montre pas, fournir des angles de traitement de sujets innovants et mettre en pratique sa passion pour la découverte qui anime son intérêt pour ce métier.

Née en Martinique, d’une mère martiniquaise et d’un père guadeloupéen, Flora est une femme des Antilles, une enfant du soleil. Cette lumière elle la porte fièrement et aspire à la faire rayonner dans tout ce qu’elle fait, tant dans sa vie personnelle que professionnelle.

Le congrès de l’AESTQ est pour Flora l’occasion de s’informer, et par la suite d’informer, sur les enjeux de l’intelligence artificielle dans l’enseignement. C’est l’occasion de pratiquer sa patte journalistique tout en prenant du plaisir et en rencontrant des personnes.

Apprendre, échanger et partager, le tout dans une ambiance conviviale et ludique !


Léonie Poulin
Université du Québec à Montréal (UQAM)

Léonie, 22 ans, vient tout juste de s’installer à Montréal. Grande passionnée des caméras, elle débute ses études en journalisme. Elle adore collectionner et utiliser ces appareils et a toujours au moins une caméra sur elle (« on ne sait jamais quand on en aura besoin hihi ! »). De plus, ayant une âme très curieuse, elle est toujours à la recherche de nouvelles informations pour nourrir son cerveau. « J’ai bien hâte de rencontrer toutes les personnes qui participeront de près ou de loin au congrès de l’AESTQ ! Je m’attends à revenir de cet évènement épanouie de toutes mes nouvelles découvertes ! »


Roxanne Lachapelle
Université du Québec à Montréal (UQAM)

Roxanne Lachapelle a récemment terminé un baccalauréat en journalisme, est actuellement étudiante à la maitrise en communications et stagiaire au Centre québécois d’éducation aux médias et à l’information. Grande passionnée d’art (principalement du cinéma d’animation), et des enjeux sociaux liés au monde des médias, Roxanne était très emballée à l’idée de couvrir le congrès de l’AESTQ et espère en apprendre plus sur l’impact que l’IA peut avoir sur la crise de la désinformation et comment l’IA contribue à une certaine révolution de l’enseignement et de ses méthodes.


 

Les productions des boursiers en enseignement de la science et de la technologie paraitront dans les prochains numéros de la revue Spectre.

 


 


 

Yasmine Ben Arous
Collège Notre-Dame

Yasmine était présente au congrès pour présenter son projet Calmos : suivi de l’anxiété, utilisant les objets connectés et l’intelligence artificielle. Elle a été récompensée dans le cadre de la SUPER EXPO-SCIENCES HYDRO-QUÉBEC, FINALE QUÉBÉCOISE 2022 (Bourse d’études de l’Université de Sherbrooke et Prix Oser la science). 

 

 Découvrez le projet CALMOS